Tous les mineurs peuvent être vaccinés à partir de 5 ans, sauf contre-indication.
Les enfants âgés de 6 mois à 4 ans à risque de forme grave de Covid-19 ou vivant dans l’entourage d’une personne immunodéprimée peuvent également être vaccinés.
Les contre-indications à la vaccination contre le Covid-19 pour les mineurs sont les mêmes que pour les adultes, hormis s’agissant du syndrome inflammatoire multi-systémique pédiatrique (PIMS) post-infection par le SARS-CoV-2, qui est une contre-indication pendant 3 mois suivant la survenue du PIMS. La vaccination peut avoir lieu passé ce délai, après récupération d’une fonction cardiaque normale, et en l’absence de tout syndrome inflammatoire.
Il faut ainsi se référer à la liste de contre-indications médicalement reconnues par la Haute Autorité de Santé (HAS), reprise à l’annexe du décret n° 2022-1097 du 30 juillet 2022.
Les enfants âgés de 6 mois à 4 ans qui se font vacciner contre le Covid-19 doivent recevoir 3 doses de la forme du vaccin Pfizer spécifique à cette tranche d’âge dans le cadre de leur primovaccination.
Les mineurs âgés de 5 à 11 ans peuvent recevoir 2 du doses de vaccin Pfizer dans sa forme spécifique à cette tranche d’âge. Les enfants de 5 à 11 ans à risque de formes grave, immunodéprimés ou vivant dans l’entourage d’une personne immunodéprimée peuvent également recevoir une dose de rappel.
Les mineurs âgés de 12 à 17 ans peuvent recevoir 2 doses de vaccin dans le cadre de leur schéma de primo-vaccination, puis sont éligibles au rappel vaccinal, à partir de 6 mois après leur dernière injection. Ils reçoivent le vaccin Pfizer dans sa forme adulte.
Les enfants âgés de 6 mois à 4 ans doivent recevoir leur deuxième dose 3 semaines après leur première injection. La troisième injection doit être réalisée 8 semaines après la deuxième.
Les mineurs entre 5 et 11 ans doivent recevoir leur deuxième dose entre 18 et 24 jours après la première injection.
Les mineurs de 12 à 17 ans doivent recevoir leur deuxième dose entre 21 et 49 jours après la première injection.
Cela dépend des situations. Dans certains cas, on peut en effet considérer qu’une infection représente une simulation équivalente à une injection de vaccin. C’est la raison pour laquelle la Haute Autorité de santé (HAS) recommande la réalisation d’un test rapide d’orientation diagnostique (TROD), permettant de vérifier la présence d’anticorps, traces d’une contamination antérieure, avant la vaccination des mineurs.
- Si le mineur a été testé positif au Covid-19 avant sa première dose, alors il ne doit recevoir qu’une seule dose pour compléter son schéma vaccinal.
- Si le mineur a été testé positif au Covid-19 plus de 15 jours après sa première dose de vaccin, alors il n’a pas besoin de recevoir une deuxième dose et son schéma vaccinal est complété.
- Si le mineur a été testé positif au Covid-19 moins de 15 jours après la première dose de vaccin, alors il peut recevoir une seconde dose, en respectant un délai de deux mois après son test positif.
Ces recommandations ne s’appliquent pas aux enfants sévèrement immunodéprimés pour qui il est impératif de prévoir un suivi rapproché du médecin spécialiste, qui appréciera au cas par cas le schéma vaccinal à recommander.
Comme les adultes, les mineurs doivent présenter leur propre carte vitale, ou celle de l’un de leurs parents ou responsables légaux, ou à défaut, une attestation de droit mentionnant le n° de sécurité sociale d’un de leurs parents.
De plus, les mineurs doivent obligatoirement présenter une autorisation parentale signée par les deux parents.
Par ailleurs, s’ils ont déjà été infectés au Covid-19, tout comme les adultes, les mineurs peuvent présenter la preuve de cette infection antérieure (test RT-PCR, antigénique de plus de deux mois ou une sérologie positive) afin de bénéficier d’un schéma vaccinal initial à une dose. Ils sont ainsi invités à présenter cette preuve d’infection lors de leur premier rendez-vous afin de faciliter le déroulement de la vaccination sur place.
Oui, l’autorisation des deux parents est une condition nécessaire à la vaccination de toute personne mineure, sauf impossibilité pour l’un des deux parents de recueillir l’accord de l’autre parent.
En outre, afin de simplifier l’accès à la vaccination, il n’est pas nécessaire que l’enfant soit accompagné par un de ses parents. La personne qui l’accompagne doit pouvoir établir qu’elle détient l’accord des deux parents et présenter un formulaire d’autorisation parentale dûment signé par les deux parents.
Le formulaire d’autorisation parentale est disponible ici, et devra être remis au personnel dans le lieu de vaccination.
L’impossibilité peut être avérée, lorsque l’autre parent, qui par exemple réside dans une autre ville, voire à l’étranger, ne donne pas suite, dans un délai raisonnable, à la demande du premier parent sollicitant son accord pour la vaccination anti-Covid de leur enfant.
Les médecins (généralistes ou spécialistes, notamment les pédiatres), les IDE (infirmiers diplômés d’État), les sage-femmes ainsi que les pharmaciens sont habilités à prescrire et administrer le vaccin contre le Covid-19 Pfizer pédiatrique pour les enfants de 5 à 11 ans.
Les professionnels habilités à vacciner les adolescents de 12 à 17 ans contre le Covid-19 sont les mêmes que pour les adultes. Voir FAQ Les réponses clés.
Par ailleurs, le vaccin pédiatrique adapté aux enfants de 5 à 11 ans peut être administré par certains services de protection maternelle et infantile (PMI). D’autres effecteurs sont également autorisés à l’administrer, mais ne sont pas en capacité de le prescrire. Ils devront donc vacciner les enfants de 5 à 11 ans en centre de vaccination, sur des lignes de vaccination pédiatriques prévoyant la présence d’un professionnel de santé habilité à prescrire ce vaccin. La liste de ces effecteurs mise à jour est disponible ici.
Les mineurs de 5 ans et plus peuvent se faire vacciner en centre de vaccination, chez leur médecin traitant (généraliste ou spécialiste), en pharmacie, en cabinet infirmier ou de sage-femme, à domicile, au sein de services hospitaliers suivant le patient.
À noter qu’un accueil et des rendez-vous dédiés sont possibles pour les enfants de 5 à 11 ans dans tous les lieux susmentionnés.
Par ailleurs, les enfants de 5 à 11 ans peuvent également se faire vacciner dans certains services de protections maternelle et infantile (PMI), et les enfants les plus à risque dans des services pédiatriques de centres hospitaliers (CH et CHU) ainsi que dans les hôpitaux pédiatriques, établissements spécialisés et centres d’accueil moyens et longs séjours pour enfants.
Enfin, des actions spécifiques, comme la mise en place d’équipes mobiles, pourront être déployées auprès des mineurs relevant de l’aide sociale à l’enfance, hébergés dans des établissements comme les maisons d’enfants à caractère social ou les structures d’accueil pour enfants handicapés, afin de leur faciliter l’accès à la vaccination.
Oui, chaque injection entraine la remise d’un certificat de vaccination nominatif. Ces certificats de vaccination des mineurs peuvent ensuite être stockés de manière électronique dans l’application TousAntiCovid de l’enfant ou de l’un des parents.
L’accès à l’éducation est un droit fondamental, et la vaccination contre le Covid-19 n’est donc pas une condition pour se rendre à l’école.
La vaccination des enfants âgés de 5-11 ans
La vaccination des enfants contre le Covid-19 suscite parfois des craintes, qui sont compréhensibles. De nombreuses études scientifiques ont été réalisées et tous les avis des autorités scientifiques convergent aujourd’hui en faveur d’une vaccination de tous les enfants à partir de 5 ans.
Les enfants infectés par le Covid-19 sont généralement atteints d’une maladie bénigne ou asymptomatique. Des conséquences graves comme une hospitalisation, une admission en soins intensifs ou un décès sont rares.
Toutefois, près de 80 % des formes sévères ont été retrouvées chez des enfants sans comorbidités. Ainsi, la vaccination de tous les enfants, y compris ceux ne présentant pas de facteurs de risque, est bénéfique.
Elle permet également de prévenir des formes de "Covid-long", qui, bien que plus rares chez les enfants, ne sont pas négligeables. L’infection, même sous forme asymptomatique, peut avoir des conséquences à long terme.
Si vous avez des questions par rapport à la vaccination de votre enfant, n’hésitez pas à vous rapprocher de votre médecin/pédiatre.
Si le consentement n’est pas nécessaire pour les enfants de 5 à 11 ans, ils doivent recevoir une information sur la vaccination claire et adaptée à leur âge, afin de s’assurer de leur compréhension de la situation.
Les enfants de 5 à 11 ans peuvent uniquement recevoir la forme pédiatrique du vaccin Pfizer-BioNTech, spécialement conçu pour eux et trois fois moins dosée que la forme adulte.
La décision d’autoriser ou non un vaccin ne relève pas du Gouvernement mais appartient aux autorités scientifiques indépendantes qui sont en charge de l’évaluation des produits de santé. C’est l’Agence européenne des médicaments (EMA) qui évalue les vaccins contre le Covid-19 au terme d’une procédure rigoureuse et stricte.
L’autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle, initialement limitée aux personnes de 12 ans et plus a été étendue aux enfants de 5 à 11 ans à la suite d’une étude menée sur près de 2 000 enfants âgés de 5 à 11 ans. Dans cet essai, le vaccin, avec sa forme adaptée, était efficace à 90,7% sur les cas de Covid-19 symptomatiques.
Aucune décision n’est prise sans l’avis préalable de la Haute Autorité de santé (HAS) qui détermine le cadre dans lequel peuvent être administrés les vaccins. Un dispositif renforcé de pharmacovigilance et de traçabilité mis en place par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) permet d’assurer le suivi des personnes vaccinées.
Comme pour tout type de vaccin, les vaccins contre le Covid-19 peuvent occasionner des effets indésirables, majoritairement bénins, après leur administration. Les enfants ayant reçu le vaccin contre le Covid-19 peuvent présenter les mêmes effets secondaires que les adultes. Les plus communément rapportés sont : une douleur à l’endroit de l’injection, de la fatigue, des maux de tête, des douleurs musculaires ou articulaires, quelques frissons et un peu de fièvre. Ces troubles sont sans gravité et disparaissent rapidement. De très rares cas de myocardites, temporaires et sans gravité, ont également été signalés, mais ces cas restent plus rares que ceux qui font suite à une infection au Covid-19 : le risque de myocardite est donc plus important en cas d’infection qu’à la suite d’une vaccination.
Les effets indésirables, observés pendant les études cliniques ou identifiés après l’autorisation de mise sur le marché, sont listés et décrits, notamment en termes de fréquence, dans la notice de chaque vaccin. Ces documents sont régulièrement mis à jour et sont disponibles sur le site de la base de données publique des médicaments à l’adresse suivante : base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr (résumé des caractéristiques du produit, notice dans le même document en format pdf).
Il faut rappeler que les effets secondaires et séquelles du virus, dont les formes de "Covid-long", sont bien plus importants et durables que les effets indésirables causés par le vaccin, quel que soit l’âge de la personne.
Consultez notre document d’information
Les cas graves de Covid-19 chez les enfants
Qu’est-ce qu’un syndrome inflammatoire multi-systémique pédiatrique (PIMS) ? Quels sont les symptômes ? Que faire lors d’une suspicion de PIMS ou encore pourquoi la vaccination est conseillée pour prévenir des PIMS ?
Le Professeur Angoulvant répond à vos questions.
La vaccination des adolescents (12-17 ans)
La vaccination permet la réduction des risques liés au développement de formes graves de la maladie, quel que soit l’âge de la personne vaccinée.
Grâce à la vaccination, les plus jeunes auront moins de risque de tomber malades et éviteront les risques de développer des formes graves de Covid-19 dites "Covid long". Et surtout, cela permet de maintenir une vie normale, sans écoles fermées, avec des sorties, du sport, de la culture et des interactions sociales.
Les adolescents entre 12 et 17 ans peuvent uniquement recevoir le vaccin Pfizer-BioNTech, notamment recommandé pour les adultes de moins de 30 ans.
Les mineurs d’au moins 12 ans ne peuvent pas être vaccinés sans leur consentement, conformément aux recommandations du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) du 8 juin 2021. Le recueil de leur consentement ne nécessite pas de formulaire ou d’engagement écrit, mais peut être recueilli à l’oral par le professionnel de santé lors de l’entretien préparatoire à la vaccination.
Par ailleurs, toujours conformément aux recommandations du CCNE, les mineurs de 12 ans et plus doivent recevoir une information claire et adaptée à leur âge sur le Covid-19 et sur les vaccins lors de l’entretien préparatoire à la vaccination.
Mes parents ne veulent pas que je me fasse vacciner, alors que je souhaite le faire. Comment faire ?
Il n’est pas possible pour un mineur de se faire vacciner si les deux parents n’ont pas donné leur accord par écrit via le formulaire correspondant, sauf impossibilité pour l’un des deux parents de recueillir l’accord de l’autre parent. Voir plus haut « La vaccination des mineurs ».
Les mineurs sont encouragés à prendre rendez-vous en-dehors du temps scolaire. Toutefois, une absence de cours pourra, dans certains cas, être tolérée.
La décision d’autoriser ou non un vaccin ne relève pas du Gouvernement mais appartient aux autorités scientifiques indépendantes qui sont en charge de l’évaluation des produits de santé. C’est l’Agence européenne des médicaments (EMA) qui évalue les vaccins contre le Covid-19 au terme d’une procédure rigoureuse et stricte. L’autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle, initialement limitée aux personnes de 16 ans et plus, a été étendue aux personnes de 12 ans et plus à la suite d’une étude menée chez 2 260 adolescents âgés de 12 à 15 ans. Dans cet essai, le vaccin Pfizer-BioNTech était efficace à 100% sur les cas de Covid-19 symptomatiques et confirmés par PCR.
Les effets indésirables les plus fréquents chez les enfants âgés de 12 à 15 ans sont similaires à ceux observés chez les personnes âgées de 16 ans et plus. Ils comprennent des douleurs au point d’injection, de la fatigue, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, des frissons et de la fièvre. Ces effets sont généralement légers ou modérés et s’améliorent quelques jours après la vaccination. Il a donc été conclu que les bénéfices de ce vaccin dans cette tranche d’âge l’emportent sur les risques.
De très rares cas de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de péricardite (inflammation de la membrane entourant le cœur) sont survenus après la vaccination avec Pfizer-BioNTech, principalement chez les personnes de moins de 30 ans. Dans un communiqué du 9 juillet 2021, le comité de sécurité de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a conclu, après avoir analysé 145 cas de myocardite dans l’Espace européen, que la myocardite et la péricardite pouvaient survenir dans de très rares cas après la vaccination avec les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna.
Des données de pharmacovigilance ont permis de mettre en évidence un signal relatif au risque de myocardite et de péricardite, qui peut être légèrement augmenté, dans les 7 jours suivant une vaccination contre le Covid-19 avec un vaccin ARNm (Pfizer-BioNTech ou Moderna), particulièrement chez les jeunes de 12 à 29 ans, ce risque étant plus élevé avec le vaccin Spikevax de Moderna. Ce risque, qui reste rare et réversible, ne remet pas en cause le rapport bénéfice/risque extrêmement favorable des vaccins contre le Covid-19.
La HAS, dans son avis du 8 novembre 2021, recommande de privilégier, lorsqu’il est disponible, la vaccination à l’aide du vaccin Pfizer-BioNTech pour les personnes âgées de moins de 30 ans, qu’il s’agisse des primo-vaccinations ou des rappels. Cet avis ne remet nullement en cause l’utilisation du vaccin Spikevax de Moderna dans le cadre de la campagne de vaccination. La HAS continue à préconiser son utilisation chez les personnes âgées de plus de 30 ans, compte tenu de son profil de sécurité rassurant et de sa très bonne efficacité.
La vaccination des enfants âgés de 6 mois à 4 ans
Conformément aux recommandations de la HAS du 15 décembre 2022, la vaccination contre le Covid-19 est ouverte aux enfants âgés de 6 mois à 4 ans à risque de forme grave, ou vivant dans l’entourage d’une personne immunodéprimée.
Les enfants de 6 mois à 4 ans reçoivent une forme spécifique du vaccin Pfizer, dosée à 3µg par dose et donc adapté à leur tranche d’âge. Celle-ci se distingue donc de la forme pédiatrique du vaccin Pfizer adaptée aux enfants de 5 à 11 ans (10µg/dose).
Les enfants de 6 mois à 4 ans éligibles à la vaccination contre le Covid-19 doivent recevoir 3 doses de la forme spécifique du vaccin Pfizer afin de compléter leur schéma de vaccination initial (primo-vaccination).
Parce que la protection apportée par les deux premières doses de vaccin ne suffit pas, il est très important de compléter tout schéma vaccinal entamé afin d’obtenir une protection optimale.
Les deux premières doses doivent être administrées à 3 semaines d’intervalle, et la troisième dose doit être réalisée 8 semaines après la deuxième.
Concernant les enfants de 6 mois à 4 ans éligibles à la vaccination contre le Covid-19, seuls les médecins sont autorisés à leur prescrire le vaccin adapté à leur tranche d’âge. En effet, s’agissant de jeunes enfants, notamment souffrant de pathologies graves, le temps de la prescription constitue un instant privilégié pour accompagner au mieux les parents dans la démarche de vaccination.
Dès lors que le vaccin a été prescrit par un médecin, il pourra être administré à l’enfant par des médecins, mais également des sages-femmes ou des infirmiers diplômés d’État (IDE), notamment les IDE puériculteurs, habitués à vacciner les enfants de cette tranche d’âge.
Pour les enfants âgés de 6 mois à 4 ans, les trois doses doivent être réalisées afin de garantir une protection optimale même en cas d’infection au Covid-19 avant le début du schéma vaccinal ou entre les différentes injections. En cas d’infection au Covid-19, un délai de 6 mois devra être respecté entre l’infection et l’injection.
Il est parfaitement possible pour un enfant de recevoir un autre vaccin du calendrier vaccinal concomitamment au vaccin contre le Covid-19. Si ceux-ci ne sont pas administrés le même jour, aucun délai spécifique n’est à respecter entre les deux injections.
Comme pour la vaccination des autres publics mineurs, la vaccination des enfants âgés de 6 mois à 4 ans nécessite l’autorisation des deux parents, sauf impossibilité pour l’un des deux parents de recueillir l’accord de l’autre parent. Il n’est en revanche pas nécessaire que l’enfant soit accompagné par un de ses parents. La personne qui l’accompagne doit pouvoir établir qu’elle détient l’accord parental et présenter un formulaire d’autorisation parentale dûment signé par les deux parents.
Le formulaire d’autorisation parentale est disponible ici, et devra être remis au personnel dans le lieu de vaccination.
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